D'abord installé au sous-sol de l'ancien couvent des Filles de la Sagesse (plus tard appelé l'académie Sainte-Jeanne-d'Arc), Patrimoine et Centre de généalogie de la Petite-Nation (PCGPN) est maintenant déménagé dans l'édifice de l'ancienne mairie, au 277, rue Papineau à Papineauville. 

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Le PCGPN est le résultat d'un travail colossal entrepris par des visionnaires de notre région. Jeanne Schryer (1944-2001) a été la principale instigatrice de ce projet. Présidente de 1988 à 1996 de la Société historique Louis-Joseph-Papineau, passionnée de généalogie, Mme Schryer a mis beaucoup d'énergie et de son savoir-faire pour accompagner les chercheurs de sa communauté. La mise sur pied de ce centre dont avait rêvée Jeanne Schryer aura été un long processus. Plus de onze ans se sont écoulés depuis que Jeanne Schryer a légué son importante collection de ressources en généalogie au Comité des Affaires culturelles de Papineauville Sainte-Angélique et demandé à Mme Claire Leblanc, alors présidente, de chercher à concrétiser son rêve.

 

Le 30 novembre 2012, le projet posthume de Jeanne se réalise et une entente de partenariat a été signée avec la Société de généalogie de l'Outaouais; en vertu de cette entente, d’autres ressources en généalogie sont venues s’ajouter à l'imposant fonds Jeanne-Schryer.

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En plus d'avoir été présidente du comité des Affaires culturelles Papineauville Sainte-Angélique, Mme Claire Leblanc, a été responsable du Centre de généalogie et du comité du Patrimoine de Papineauville. Native de Sainte-Angélique, au-jourd'hui Papineauville, Mme Leblanc a obtenu sa formation au cours commercial de l’Académie Sainte-Jeanne D'Arc, tenue par les religieuses. Elle a commencé à travailler, à l'âge de 15 ans, pour le notaire Albert Boulais qui lui a beaucoup appris. Elle a ensuite travaillé comme registraire de la circonscription foncière de Papineau et au bureau d’enregistrement jusqu'à sa retraite en 1999.

 

Son bagage d'expérience lui a permis de se forger une réputation solide en matière de recherche historique de la région. Elle est ainsi devenue une référence en matière de recherches généalogiques et sur l’histoire de la Petite-Nation.

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